• L'interet de l'Histoire, est il d'abord de lutter contre l'oubli? ou comment se retourner la tete pendant 3H.
    Bon en serie technologique on a pas été tres bien servi cette année en choix de sujets, les deux autres étants un texte de Spinoza sur la liberté illimitée et l'autre sur la recherche de la vérité. Allez savoir quels herbes ont fumer les profs qui ont conçu le sujet, en tout cas maintenant plus aucune prise de tete avec quelques vieux de plus 1000ans d'age.

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  • - T'as plus aucune fierté !?
    - J'suis en rupture de stock !
    - Mais j'en ai marre d'être toute seule !
    - Prends toi un chien !
    - J'suis pas ton ennemie, mais c'est toi qui fous tout en l'air !
    - Et dire que j'dois me supporter à longueur de journée !
    Le dernier samaritain

    "Mama always said life was like a box of chocolates. You never know what you're gonna get,"
    Forrest Gump

    "Say 'hello' to my little friend!,"
    Scarface

    "You talking to me?"
    Taxi Driver

    "I love the smell of napalm in the morning,"
    Apocalypse Now

    "Go ahead, make my day,"
    Sudden Impact

     

     

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  • Certaines ont déja dut revoir les tailles de leurs gardes robes à la hausse, tandis que d'autres continue l'éternel et cruel marathon du regime d'été...

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  • Finis les bancs de l'école, le bac nous amene pas à pas vers autre part. Certains voient la fac, les ecoles pour les chanceux et puis il y a vous et moi qui de ci de là, non encore infléchi la course du temps, sur un endroit où se poser. Mais le Bac, ces epreuves, ce stress tout sans qui aucun demain n'est possible, enferme jeunes et curieux vieux, dans cette salle immense, finalement le lieu de plusieurs questions exepter celle-ci: et après?

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  • Sentiments passés, vous qui preniez tant de place, dans cette tête tourmentée, il n'y a que vous qui ayez la cruauté de m'enchainée maintenant, à cette vie d'ésseulé, où le fou ne voit sa redemption, que dans les kelkes regards furtifs de passantes, mais chaque oeil qui se referme, est autant de souffrance, qu'un éclair venu du ciel. Jadis vous peignez en mon âme, le visage de celle, qui fut non pas tout à moi mais tout, pour moi.Elle avait ces lignes gracieuses, que les poètes rêvent en vers, que je chérissais de mes yeux sans perçer le mystere de cette grace comme le fidele priant son Saint.
    Trahis par la chere, ses yeux ne cherchèrent aucun recoin où se cacher, ils regardaient fixe cette tristesse, qui laissait peu à peu aparaitre une haine. La traitresse cachait son jeu dans une arme, derriere les plis dune robe froide.Le pistolet lever devant moi, je ne voyais plus ke le trou noir du canon, ce dernier long couloir vers la mort.
    Sortant enfin de son arme, la balle mit un terme à toutes ces larmes. La pluie me réveilla doucement, dans cette rue d'un autre enfer.


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