• Voila comment sa finit en general, par de bons souvenirs, enfin presque pour tout le monde^^...

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  • De petites etoiles au milieu de la rue. Entre reves et beton, l'espoir n'a que l"imagination pour confort.

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  • Une nuit, les lampadaires devant moi, je rentre chez moi. Les lunettes sombres deviennent floues, la pluie tombe tandis que je remonte mon col. En retirant mes lunettes je ferme les yeux et aprecie les gouttes, petits pas de fée, carressant mon visage. Alors que mes yeux se rouvrent en baissant mon visage, une ombre se profile sous un lampadaire, un manteau sur les epaules, elle s'avance vers le poteau et s'appuie dessus en perdant l'équilibre. A la lumiere je vis que c'etait une femme, les cheveux dénoués, un peu trempée et sur sa joue une trace pourpre lorsqu'elle leva la tete. Presque machinalement, elle sortit un bras de son manteau, au bout duquel se tenait difficilement un pistolet. La peur me prit, une arme entre des mains, ne fait pas de difference entre celui qui l'a tient et celui qu'elle vise. Je vis ses yeux, plein de peurs et de pitié, me priant de ne rien faire pour qu'elle appuie sur la detente. Je n'en qu'à ma tete, qui me dit que cette fille a besoin d'aide. Premier pas. Je baisse les bras le long de mon corps. Second pas. Elle joint sa deuxieme main sur l'arme pour l'équilibrer. Troisieme pas. Je leve legerement un bras la main ouverte. Quatrieme pas. Elle est sur le point de s'effrondrer. Cinquieme pas. Je m'arrete et demande de la main de me donner son arme, la pluie masque la sueur de mon front, mes yeux restent fixent pour ne pas devoiler ma peur. A bout de force elle baisse son arme, baisse la tete et tombe, mais avant de toucher le sol, je la ratrappe par la taille dans un sursaut. Je sentais quelque chose de moins liquide que l'eau peu à peu remplir ma main sur sa taille, je déplia quelques doigts pour voir le rouge de sa blessure. Dans cette rue, un soir de pluie, sous un lampadaire, une femme blessée se tenait entre mes mains, prete à mourir de tout son sang qui s'échappe. Me levant, elle dans mes bras, je continue d'aprecier les petits pas de fées, dansant sur le visage rouge de cette inconnue, laissant derriere moi les lunettes sombres. Ce soir je prend un nouveau chemin pour rentrer chez moi, il commence dans cette rue avec elle. Sixieme pas.

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  • Nous voila vers la fin de ces tres bons jours de fetes, avec ses bon
    rpas qui dure et dure..., ses réunions de familles où l'on peut
    profiter lors de la bise, du dernier apareil dentaire de nos chers gds
    parents, qui malheureusement ne tiendra pas jusqu'au dessert, preferant
    se noyer dans le champagne (je parle du dentier là). Blague à part
    c'est aussi le temps pour les amoureux de voir si leurs definitions
    respectivent du mot cadeau valent toujours le coup d'etre ensemble,
    tandis que les pigeons arretront de nous chier dessus, laissant la
    neige (ou plutot la pluie, le vent, le froid cette année, année sans
    neige oblige) nous couvrir de son manteau blanc. Savez-vous pourquoi la
    neige est blanche? c'est parcequ'elle ne se souvient pas de sa couleur
    (les connaisseurs remarqueront la citation, les autre saprecieront tout
    simplement), mais bientot si le rechauffement continue, nos enfants ne
    sauront meme pas ce qu'est la neige! (c'était un communiquer du
    commiter de soutien à Nicolas Hulot).

    Toutes ces petites lumieres, pour les fetes, vont commencer à
    s'éteindre, oui le jour va commencer a reprendre du temps sur la nuit,
    mais laissons une petite lumiere allumée, car une lumiere du music hall
    nous a quittée ce 25 decembre dernier, qui maintenant feel better
    surement, je parle bien sur de cet sex machin qu'est James Brown, alors
    pendant ce dernier tour de verre, je laisse la lumiere allumée et vous
    souhaite une tres bonne et heureuse année 2007.

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  • De ses sourires aux allures de gourmandises.


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